La mort est leur métier : une journée dans une unité de soins palliatifs, où l'on domestique la fin de vie
Alors que le Parlement s’apprête à rouvrir le débat sur la fin de vie et sur l’éventuelle légalisation d’une aide active à mourir, « Marianne » a poussé la porte d’un lieu où l’on accompagne sans hâter. À la maison médicale Jeanne-Garnier, plus grande unité de soins palliatifs d’Europe, la mort ne se provoque pas : elle se prépare, dans le soin, l’écoute – et parfois même la joie.
