Face à la mortalité infantile en France, des hypothèses faute de mieux
Certains l'imputent à une prévention insuffisante, d'autres à la fermeture de maternités : le taux de mortalité infantile en France est l'un des plus élevés d'Europe mais les raisons de ce phénomène, abordé cette semaine au Parlement, restent à ce stade difficiles à identifier avec certitude.
Les dernières données officielles sont sans appel : le taux de mortalité infantile est passé de 3,5 décès pour 1.000 enfants nés vivants en 2011 à 4,1 pour mille en 2024, selon l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee).
Soit un enfant sur 250 qui continue de mourir avant son premier anniversaire, une tendance à rebours de celles observées dans la plupart des autres pays européens à l'image de la Suède ou encore de l'Italie qui ont vu décroître leur taux de mortalité infantile ces dernières années.
Certains l'imputent à une prévention insuffisante, d'autres à la fermeture de maternités : le taux de mortalité infantile en France est l'un des plus élevés d'Europe mais les raisons de ce phénomène, abordé cette semaine au Parlement, restent à ce stade difficiles à identifier avec certitude.
Les dernières données officielles sont sans appel : le taux de mortalité infantile est passé de 3,5 décès pour 1.000 enfants nés vivants en 2011 à 4,1 pour mille en 2024, selon l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee).
Soit un enfant sur 250 qui continue de mourir avant son premier anniversaire, une tendance à rebours de celles observées dans la plupart des autres pays européens à l'image de la Suède ou encore de l'Italie qui ont vu décroître leur taux de mortalité infantile ces dernières années.