« Trump a vidé l’OTAN de ce qui fait la force d’une alliance de défense collective : la fiabilité »
Alors que le président républicain aurait pu jouer le rôle d’un honnête médiateur entre l’Ukraine et la Russie, il a choisi d’abandonner l’agressé et de se rendre à la raison de l’agresseur, note, dans sa chronique, Alain Frachon, éditorialiste au « Monde ».
