Gabriel Attal : « Utilisons les plus de 200 milliards d’euros d’avoirs russes gelés en Europe pour accompagner l’effort de résistance ukrainien »
C’est à l’agresseur de payer pour la guerre, pas à l’agressé, affirme l’ancien premier ministre dans une tribune au « Monde ». Cette décision permettrait, selon lui, de montrer à la Russie et au monde que l’Europe est capable de taper du poing sur la table.
