Avec l’arrivée du chancelier Merz, la culture allemande du compromis en lambeaux
Quand la coalition du social-démocrate Olaf Scholz s’est brisée en novembre dernier, c’était la première fois qu’un chancelier allemand chutait avant la fin de son mandat. Hier, au Bundestag, c’était aussi la première fois qu’un candidat désigné à la chancellerie fédérale, le conservateur Friedrich Merz, échouait au premier tour de son élection, chef d’une majorité trop fragile pour le porter au pouvoir sans histoire.
