"Tout est bien puisque tout finit", de Bruno de Cessole : le roman d'une imposture littéraire
Dans « Tout est bien puisque tout finit » (Le Cherche Midi), Bruno de Cessole nous propose de suivre la trajectoire de l’écrivain fictif Baltasar dos Santos qui, dans son discours de réception du prix Nobel de littérature, admet avoir bâti une œuvre non pas par amour de la littérature mais par volonté de parvenir. Occasion jubilatoire d’interroger les ressorts du scandale et de la création.
