Nouvelle-Calédonie: le calvaire des «déportés» anonymes
Dans la foulée des révoltes du 13 mai 2024, l’État français a procédé au transfert de dizaines de détenus de droit commun dans une opacité la plus totale. Certains sont aujourd’hui sortis de prison, sans moyens financiers pour survivre dans l’Hexagone ou rentrer chez eux.
