Moscou veut reprendre les négociations mais dénonce un “ultimatum insolent” de Kiev
Trois ans après l’interruption des pourparlers, la Russie propose de les reprendre le 15 mai là où elles avaient débuté, à Istanbul, en Turquie. L’Ukraine, elle, exige d’abord un cessez-le-feu d’un mois. Un “ultimatum insolent”, juge le Kremlin. Pour la presse russe, il est crucial pour Poutine de fixer “le tempo, le lieu et la date des discussions”.
