Merci, François, pape le plus à gauche de l’histoire
Le Vatican a annoncé lundi 21 avril la mort du pape François. En mars, alors que le souverain pontife luttait contre la maladie, le philosophe espagnol Santiago Alba Rico évoquait un rendez-vous manqué des catholiques avec l’histoire. Enfermées dans leur anticléricalisme, les forces progressistes ont raté l’occasion de s’appuyer sur le pape pour faire avancer leurs combats, regrettait-il. Et la droite, en particulier dans sa variante trumpiste, est désormais prête à prendre sa revanche.
Le Vatican a annoncé lundi 21 avril la mort du pape François. En mars, alors que le souverain pontife luttait contre la maladie, le philosophe espagnol Santiago Alba Rico évoquait un rendez-vous manqué des catholiques avec l’histoire. Enfermées dans leur anticléricalisme, les forces progressistes ont raté l’occasion de s’appuyer sur le pape pour faire avancer leurs combats, regrettait-il. Et la droite, en particulier dans sa variante trumpiste, est désormais prête à prendre sa revanche.