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"Face à la tentation et à la domination américaine, une alliance franco-québécoise s’impose"
L’heure du choix a sonné pour le Québec. Doit-il s’enfermer dans la sphère d’influence américaine ou construire une alternative viable ? Tandis que Washington redessine ses alliances et que le vice-président américain J.D. Vance assume la rupture avec l’Europe, une alliance franco-québécoise s’impose, non seulement pour préserver la singularité francophone en Amérique du Nord, mais aussi pour offrir une alternative politique et culturelle à l’uniformisation globale, affirment Alexandre Lazarègue, avocat au barreau de Paris et Sarah Hinderer, avocate au barreau du Québec.
L’heure du choix a sonné pour le Québec. Doit-il s’enfermer dans la sphère d’influence américaine ou construire une alternative viable ? Tandis que Washington redessine ses alliances et que le vice-président américain J.D. Vance assume la rupture avec l’Europe, une alliance franco-québécoise s’impose, non seulement pour préserver la singularité francophone en Amérique du Nord, mais aussi pour offrir une alternative politique et culturelle à l’uniformisation globale, affirment Alexandre Lazarègue, avocat au barreau de Paris et Sarah Hinderer, avocate au barreau du Québec.
