«Les arguments du Mali, du Niger et du Burkina Faso pour quitter l'OIF sont recevables»
Ce 20 mars est la journée mondiale de la francophonie, point d'orgue d'une semaine de célébration de la langue française. Une année 2025 marquée par la décision de trois pays de quitter l'Organisation internationale de la Francophonie : le Mali, le Burkina et le Niger – où l'OIF avait vu le jour le 20 mars 1970 –, désormais alliés au sein de l'Alliance des États du Sahel. Ces trois pays ont décidé de se retirer de l'organisation qui les avait sanctionnés après les coups d'État. Comment expliquer ce départ aujourd'hui ? La francophonie politique et diplomatique a-t-elle un avenir ? Seidik Abba, journaliste et écrivain nigérien, par ailleurs président du Centre international d'études et de réflexions sur le Sahel, est l'invité d'Afrique Midi.
