Guy Birenbaum : "Si la fiction ne passe pas par la Shoah, nous courons à la catastrophe, c’est-à-dire l’oubli !"

Alors que l'on commémorait, le 27 janvier dernier, les victimes de la Shoah, et alors que les derniers rescapés de l'horreur se font de plus en plus rares, maintenir vivante la mémoire de l'Holocauste est une responsabilité qui nous incombe collectivement. C'est ce dont est convaincu l'ancien journaliste et éditeur Guy Birenbaum, passeur de l'histoire d'une mère qui a survécu à la rafle du Vél d'Hiv, contée dans « La vie devant moi » (Flammarion). Un récit dont Nils Tavernier s'est inspiré pour son film, au cinéma le 26 février.

Fév 17, 2025 - 20:06
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Guy Birenbaum : "Si la fiction ne passe pas par la Shoah, nous courons à la catastrophe, c’est-à-dire l’oubli !"
Alors que l'on commémorait, le 27 janvier dernier, les victimes de la Shoah, et alors que les derniers rescapés de l'horreur se font de plus en plus rares, maintenir vivante la mémoire de l'Holocauste est une responsabilité qui nous incombe collectivement. C'est ce dont est convaincu l'ancien journaliste et éditeur Guy Birenbaum, passeur de l'histoire d'une mère qui a survécu à la rafle du Vél d'Hiv, contée dans « La vie devant moi » (Flammarion). Un récit dont Nils Tavernier s'est inspiré pour son film, au cinéma le 26 février.