"Cela minerait l'autorité de Meloni" : après la libération d'un tortionnaire libyen, les plaintes se multiplient en Italie
L’affaire de la libération du chef de la police libyenne Osama Al-Masri Najim, recherché par la Cour pénale internationale (CPI) pour crimes contre l’humanité et crimes de guerre, prend une tournure pour le moins embarrassante pour le gouvernement de Giorgia Meloni. Trois plaintes contre la présidente du Conseil et les ministres de la Justice et de l’Intérieur impliqués dans ce dossier, ont été déposées en Italie et une quatrième par un Soudanais installé en France auprès de la CPI. L'affaire risque de déstabiliser le gouvernement italien.
