Vivendi : « Trois mois après, la scission du groupe de média et de divertissement s’apparente à un supplice pour ses actionnaires »
Cette opération financière a fait tomber les protections des investisseurs au bénéfice d’un seul : le groupe Bolloré, actionnaire à 29,9 % de Vivendi avant scission, et désormais premier actionnaire de Canal+ et d’Havas, relève Isabelle Chaperon, journaliste économique au « Monde ».
