Un développeur condamné pour avoir activé un code « Kill Switch » lors de son licenciement, il risque 10 ans de prison après avoir saboté les systèmes informatiques de son employeur et supprimé des données
Un développeur condamné pour avoir activé un code « Kill Switch » lors de son licenciement, il risque 10 ans de prison après avoir saboté les systèmes informatiques de son employeur et supprimé des données Dans une affaire qui met en lumière les risques posés par des employés mécontents dans le domaine technologique, un développeur de logiciels a été reconnu coupable d'avoir inséré un "kill switch", un code malveillant destiné à saboter le système de son ancien employeur après son licenciement....

il risque 10 ans de prison après avoir saboté les systèmes informatiques de son employeur et supprimé des données
Dans une affaire qui met en lumière les risques posés par des employés mécontents dans le domaine technologique, un développeur de logiciels a été reconnu coupable d'avoir inséré un "kill switch", un code malveillant destiné à saboter le système de son ancien employeur après son licenciement....