« Pirelli cherche à se débarrasser de son encombrant partenaire chinois, considéré comme un obstacle pour son développement aux Etats-Unis »
Décision rarissime, le conseil d’administration du fabricant de pneus a entériné lundi 28 avril la fin du contrôle exercé par la société d’Etat chinois Sinochem, en dépit de sa participation de 37 %. Depuis le mois de janvier, Washington interdit les technologies venues de Chine dans l’habitacle, constate Isabelle Chaperon, journaliste économique au « Monde ».
