Après l’attaque de Nantes, la récupération politique comme une “habitude systématique”
L’attaque au couteau dans un lycée de Nantes, jeudi 24 avril, a relancé le débat sur la délinquance des mineurs. Mais au-delà de la tragédie humaine – 1 mort et 3 blessés –, la classe politique française s’est empressée de “se déchirer sur les raisons du crime et donc les solutions à envisager”, constate la presse étrangère.
