« Nous sommes là pour dire : N’oubliez pas », à Buchenwald, avec les mots de Jorge Semprun, la jeunesse franco-allemande devient passeuse de mémoire
Dans l’indicible du camp de Buchenwald, les artistes Hiam Abbass et Jean-Baptiste Sastre ont réuni 30 jeunes de Berlin, Clichy et Bourges pour dire « l’Écriture ou la vie », de l’auteur résistant espagnol, Jorge Semprun, déporté en 1944. En devenant garante de cette mémoire, la jeunesse raconte quelque chose d’elle-même.
