« La nomination envisagée de Richard Ferrand à la présidence du Conseil constitutionnel éclaire le peu de considération d’une partie de notre classe politique à l’égard de cette institution »
Garant notamment de l’Etat de droit et de la conformité de la loi à la Constitution, l’institution n’a pas vocation à être dirigée par un proche du président de la République, estiment les juristes Dominique Chagnollaud et Jules Lepoutre, dans une tribune au « Monde ».
