« Penser la mobilisation, c’est s’intéresser d’abord à ce que les élèves font, ici et maintenant »
Rares sont les cas où une cause unique et pérenne explique les difficultés d’un élève à s’impliquer dans une tâche. Il convient donc de s’adapter à chaque situation, de jouer les équilibristes en tenant compte de tous les paramètres, pour tenter d’intéresser chacune et chacun aux apprentissages du jour. Mobiliser les élèves, c’est accepter une part d’imprévisibilité et vivre le temps présent, décryptent les coordonnateurs de notre dossier « Remobilisés ! » dans cet entretien. L’article « Penser la mobilisation, c’est s’intéresser d’abord à ce que les élèves font, ici et maintenant » est apparu en premier sur Les Cahiers pédagogiques.

Rares sont les cas où une cause unique et pérenne explique les difficultés d’un élève à s’impliquer dans une tâche. Il convient donc de s’adapter à chaque situation, de jouer les équilibristes en tenant compte de tous les paramètres, pour tenter d’intéresser chacune et chacun aux apprentissages du jour. Mobiliser les élèves, c’est accepter une part d’imprévisibilité et vivre le temps présent, décryptent les coordonnateurs de notre dossier « Remobilisés ! » dans cet entretien.
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