Intelligence artificielle : « absolument essentielle », la matière est devenue incontournable dans l’enseignement supérieur
L’intelligence artificielle s’est immiscée depuis plusieurs années dans de nombreux secteurs d’activité. Au-delà de l’informatique, être formé aux outils de l’intelligence artificielle constitue un avantage majeur dans la médecine, l’art, l’économie et plus généralement le monde de l’entreprise. Alors que les inscriptions à la plateforme « Mon Master » se clôturent ce lundi, les formations d’études supérieures [...]

L’intelligence artificielle s’est immiscée depuis plusieurs années dans de nombreux secteurs d’activité. Au-delà de l’informatique, être formé aux outils de l’intelligence artificielle constitue un avantage majeur dans la médecine, l’art, l’économie et plus généralement le monde de l’entreprise. Alors que les inscriptions à la plateforme « Mon Master » se clôturent ce lundi, les formations d’études supérieures consacrent alors de plus en plus d’importance à l’intelligence artificielle, comme le rapporte Franceinfo.
« Absolument essentiel »
Parmi les nombreuses formations proposées par la plateforme « Mon Master », équivalent de Parcoursup pour les cursus bac +5, l’intelligence artificielle est devenue une matière incontournable. Si les compétences dans les outils de l’IA sont très demandées par les entreprises, notamment grâce à leur utilisation pluridisciplinaire, les universités offrent également des formations sur autour des enjeux éthiques, environnementaux et sociétaux qui émergent face aux développements de l’IA.
De nombreuses formations existantes ont d’ailleurs été modifiées afin d’inclure des modules sur l’intelligence artificielle. « Si vous échangez avec nos collègues de Sciences Po, l’IA a des impacts sur les cours de géopolitique » explique Amandine Duffoux. Les étudiants, eux, sont partagés entre enthousiasme face à l’apprentissage d’une technologie moderne et la nécessité de s’adapter au futur du monde de l’emploi. Une chose est sûre, la révolution de l’intelligence artificielle risque de ne pas épargner le paysage universitaire français.