Discrimination lors de la sélection en masters : les candidates les plus pénalisées sont celles dont « l’identité signale une origine africaine »
Les noms et prénoms suggérant une « origine étrangère » constituent un facteur de discrimination pour l’accès aux masters, selon une étude de l’Observatoire national des discriminations et de l’égalité dans le supérieur publiée mardi 18 mars. Les candidates « les plus pénalisées » sont « celles dont l’identité signale une origine africaine, (…) avec une baisse de 8,5 % des chances de succès, qui dépasse même 15 % dans le seul domaine des Sciences, Technologie et Santé », révèle le document.
