Au procès libyen, les dessous d'un contrat juteux avec l'Arabie saoudite et la rivalité Chirac-Sarkozy
À l’ordre du jour du procès libyen, le contrat Miksa avec l’Arabie saoudite et une page d’histoire de la Ve République. En 2003, Jacques Chirac a brutalement retiré le dossier Miksa des mains du ministre de l’Intérieur et de ses équipes, alors en cheville avec Takieddine. Soupçons de commissions occultes ? Nicolas Sarkozy a dû s’expliquer à la barre sur sa rivalité de haute intensité avec son prédécesseur à l’Élysée.
