Le cas Monique Olivier : "La société a du mal à percevoir le mal au féminin. La femme est rassurante, pas prédatrice"
De « Killing Eve » à « Why Women Kill », les tueuses envahissent les séries, podcasts et documentaires. Un intérêt croissant qui va de pair avec la levée d’un tabou : celui des femmes comme auteures de crimes, et non plus uniquement comme victimes. Agnès Grossmann, journaliste qui a récemment publié un ouvrage consacré à la complice de Michel Fourniret, « Le mal au féminin : Monique Olivier » (Les Presses de la Cité) apporte son éclairage à « Marianne ».
