"Bleus, blancs, rouges" : Benjamin Dierstein, la meilleure réponse du polar français à James Ellroy ?
Dans « Bleus, blancs, rouges », Benjamin Dierstein fait s’entrecroiser une impressionnante galerie de personnages fictifs et de figures bien réelles, acteurs à divers titres de plusieurs affaires emblématiques des années Giscard – des années vues du côté obscur et rock'n'roll de la force. Grâce à un gros travail de documentation, il réussit le tour de force de les rendre tous crédibles et incarnés à l’extrême, dans une incroyable richesse et variété de situations.
